« Ô ténébreux ensorcelants de vos orbes carmines scrutez ce pantin ses fils doucement tirés à vos volontés. Engraissez les agneaux de douceur futiles pour, un délicat repas en vos doigts raffinés envahi ce tombeau silencieux tendresse d’outre-mer ! Vous ces monstres perçues par-delà les sept mers sur des rivages tremblotant d’un pouvoir fécond une esquisse divine sur vos lèvres sèches, d’une moquerie et de méchanceté peut-être. Le personnel de ces catacombes déploient leurs bras rachitiques accueillant vierges, enfant, vieux, garçons en ce lieu gigantesque. Pompier, médecins, cuisiniers, de leurs danses fabuleuses peignent des arabesques éparse de joie, malheur, rire et pleure ! »

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« Ô enfants embourbés de maladies dit-on des supplices sévis, des traumatismes catastrophiques, des pleures sur le parvis d'une Eglise ; ces êtres abandonnés dilapidés. Se meuvent de leurs membres brisés, ces âmes hurlent des insanités mais de croyances rejetés bannis de la société, captifs d'un empire totalitaire ils survivent de mal-être, enchaînés ils observent ces cieux ô insupportables de leurs paumes d'argent que ce zéphyr venteux. De cadavre devenus par des pilules obscures ces chapardeurs d'amour d'espoir aucun, zombies de cette prison délicate ils prennent leur vie ghetto d’un rêve immaculé au rivage d’Outre-Tombe, catacombes inaccessibles. Ici ces sempiternels esprits voguent sur des rivages ennoblis de tristesse ô Terreur ! Ces malades vus d’une société terribles, pointé de ces phalanges rachitiques ils suscitent vociférations de frayeur. »

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« Vagabonds de leurs états dansant ce désespoir désunis ô catin de solitude ils versent à ce calice l’offrande divine de ces cristaux écarlates de Chagrin insensé ; victimes d’agissements précaires à ces diables de soufres, enfermés par des tiers ô disgrâces ! De ces maux qui les incombent des illusions dramatiques bercent ces lapins de chants gothiques, d’un torrent de flots s’écoulent des morbides échos de protestation mais d’oreilles nuls sons traversant ce Styx mystérieux restant dans cet aile allumée de chandelle, prisonniers de comparses peints sur les lèvres closes la promesse fraternelle d’une douleur à venir. »

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« Egarés de supplice ces gens de meurtres et d’abominations commis ils trainent leurs chaines cliquetant entre ces dédales de couloirs, gigantesques enfermés. De leurs dents crochetés ouvrent ces diamants de convoitise, de leurs divergences maltraitent ces animaux de peur tremblant, de leurs regards ces torturent songées ô répugnants. De règnes ils rient des mouvements léthargiques écroués de leurs esprits… Les pires dans ces parages tortueux guettent l’agneau à leur pied monstrueux prêts à l’attaque ces prédateurs inutiles d’une main de fer forcent l’ambiance à devenir… horrifique. »

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